JE VOUS LE LIVRE TEL QUEL:

« Suite à l’inefficacité des méthodes préconisées par des spécialistes (psychologue, pédopsychiatre) on a décidé de contacter Hervé.
Notre fils de 14 ans (diagnostiqué TDA) nous rendait la vie insupportable (insultes, crises à répétitions, refus d’autorité). L’application des conseils d’Hervé, surtout en terme de sanctions, nous a permis de retrouver l’autorité auprès de notre fils et d’apaiser l’ambiance à la maison.
Merci Hervé pour vos conseils ! »

L’adolescent en position de toute-puissance traverse une phase où il surestime ses capacités, ses jugements et son autonomie, souvent au détriment de l’autorité parentale. Ce sentiment d’omnipotence, caractéristique de certains moments de l’adolescence, peut conduit à une inversion de la hiérarchie familiale.

L’adolescent impose alors ses propres règles, conteste systématiquement les limites et tente de prendre le pouvoir symbolique dans la famille. Les rôles s’inversent : les parents deviennent ceux qui cèdent.

Cette dynamique, si elle s’installe, fragilise la structure familiale et peut empêcher l’adolescent de se confronter aux frustrations nécessaires à sa construction.

 Il est alors fondamental que l’adulte retrouve sa juste place, celle de guide, même si elle est remise en cause, pour permettre à l’adolescent de grandir en sécurité.

NOUS SOMMES LÀ POUR VOUS Y AIDER.

Restaurer ou instaurer une autorité n’est pas chose facile.

« L’autorité repose d’abord sur la raison » Le Petit Prince – Antoine de Saint Exupéry

Pour interdire quelque chose, quel que soit l’âge, il faut toujours donner un motif.

Il ne faut pas confondre autorité et autoritarisme. L’autoritarisme, c’est l’arbitraire, la dictature. Néanmoins, la sanction est un vecteur essentiel de l’autorité. Elle repose « d’abord » sur la raison mais aussi sur la peur de la sanction. C’est inévitable.

L’autorité répond à des mécanismes très précis qui se déroulent en 5 phases: la règle, la transgression, la sanction, la frustration puis la reformulation par l’enfant ou l’ado de ce qu’il s’est passé.

La sanction doit être adaptée dans la durée et l’intensité en fonction de la transgression commise, comme dans la vie adulte !

(Dessin: Le chat Philippe Geluck).

Quand il n’y a ni envie, ni attirance, ni désir: il n’y a aucune raison d’accepter un câlin, une caresse, un bisou, un baiser ou plus.

Bien sûr, on parlera de bisou à une petite fille et d’acte éventuellement sexuel à l’adolescence.
Mais la démarche reste la même: NE PAS CÉDER pour faire plaisir, par peur de perdre l’autre et/ou par manque d’estime de soi.

Quand une jeune fille, une jeune femme, une femme dit « non » pour un bisou, une étreinte, une caresse, un baiser, un rapport sexuel, il est de notre devoir de parents d’inculquer dès leur plus jeune âge à nos garçons que ce « non » est sacré, de ne pas insister une seule seconde!

Le refus d’autorité, c’est quoi ?

Tout d’abord, il est important de ne pas confondre « avoir de l’autorité » -une multiplication des interdits qui peut déboucher sur l’autoritarisme- et « faire autorité ».

L’autoritarisme, c’est l’adulte qui décide à la place de l’adolescent, et lui impose, de façon arbitraire, des rythmes, des apprentissages, des silences…. « Faire autorité » au contraire, c’est savoir dire « non » à bon escient, justifier un refus –par le dialogue- et donner des sanctions qui ont du sens, en un mot respecter l’adolescent. Cela n’est possible que si l’adulte a suffisamment confiance en lui, en ses convictions, en ses « valeurs ». S’il est persuadé que sa vie est « digne » de constituer des repères.

Nombre de mamans seules, par exemple, sont intimement convaincues que leur « histoire » ne mérite pas qu’on s’y attarde… et se laissent « dépasser » par leur enfant.

De son côté, l’adolescent se caractérise par son ambivalence. Il a besoin à la fois d’autorité –d’un cadre qui lui permettra de se responsabiliser progressivement- et de rejeter cette autorité, de provoquer : « j’ai les parents les plus nuls… mais qu’est-ce qu’ils m’aiment ! » Pour répondre à cette ambivalence, le parent doit accepter d’être parfois le « mauvais objet » (au risque de se voir renvoyer une image de « ringard » !) en restant très ferme sur ses positions.

L’essentiel ? Ne jamais laisser l’adolescent faire quelque chose qui le « dérange » profondément, bref afficher une « saine » rigidité, en conformité avec ses propres convictions… »

Attention, les lignes qui vont suivre ne sont pas des « fake-news »! C’’est malheureusement on ne peut plus sérieux!
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a adopté un avis sur les politiques publiques de prohibition du cannabis récréatif. Dans le rapport préparatoire à l’avis, le Conseil constate que la législation en vigueur n’a pas atteint les objectifs de santé et de sécurité publiques. Il préconise la voie de la légalisation.

L’usage du cannabis est plus fréquent  chez les jeunes déscolarisés (16,5% de consommateurs réguliers) et les apprentis (9,2% de consommateurs réguliers) par rapport aux élèves de lycée (3,1% de consommateurs réguliers).

Lors de son assemblée du 23 janvier 2023, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a adopté un projet d’avis sur la législation qui prohibe la consommation et la vente du cannabis récréatif. Face à un constat d’échec de la politique de répression, le CESE appelle les pouvoirs publics à « repenser totalement » la question du cannabis en ouvrant un large débat au sein de la société. Ce projet d’avis s’appuie sur un rapport présenté par Florent Compain et Helno Eyriey.

CONCLUSION: NE POUVANT SANCTIONNER, ON AUTORISE ???

QUELS MESSAGES ENVOIE-T-ON, À NOS JEUNES ???

https://www.vie-publique.fr/en-bref/288005-cannabis-recreatif-le-cese-favorable-une-legalisation-encadree

Rassurer l’enfant en lui disant que ses parents vont toujours l’aimer et prendre soin de lui, même s’ils sont séparés. Plus l’enfant est jeune, plus les contacts avec ses deux parents devraient être fréquents, car cela permet de maintenir un lien fort avec chacun. Il n’y a, à mon avis, pas de mode de garde idéal mais je pense que la garde alternée est néanmoins le meilleur.

Ne surtout pas dire du mal de l’autre parent, même ce n’est pas toujours facile…

Enfin un livre pratique: « L’expérience éducative: solutions concrètes en 24 thématiques à l’usage des parents ».

Je l’ai écrit comme un manuel: j’ai répertorié 24 problèmes et je propose 24 solutions grâce à mes 3 décennies d’expérience de terrain.

En vente sur Amazon

https://www.amazon.fr/LEXPÉRIENCE-ÉDUCATIVE-Solutions-concrètes-thématiques/dp/B0D1P5T26F/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&crid=952KZIW5EI6S&dib=eyJ2IjoiMSJ9.nvfuwDihd8BtB56bRp1jxA.oVRyVToN2DeM42d8V5KNTjCdt66LlhjwvlAGWTsSYQk&dib_tag=se&keywords=herve+Kurower&qid=1730919138&sprefix=herve+kurower%2Caps%2C375&sr=8-1

Je ne comprends pas pourquoi les sacs à roulettes sont interdits, ils soulageraient tellement le dos des enfants, qui arrivés à l’adolescence peuvent présenter des scolioses lombaires ou autres maux de dos ou de nuque.

Je ne comprends pas pourquoi les cours ne sont pas dispensés en numérique en cette année scolaire 2024-2025, en ce premier quart du … 21ème siècle!

Je ne comprends pas pourquoi, faute de supports numériques dans nos écoles, les livres ne sont pas doublés: un exemplaire pour la maison, un pour l’école.

Je ne comprends pas pourquoi, faute éventuellement de budget pour doubler les livres (sic!), on ne pourrait pas simplement projeter ou photocopier la ou les pages concernées de la leçon du jour ou du lendemain?

Je ne comprends pas pourquoi il faut tant de cahiers qui alourdissent encore plus le sac à dos de nos élèves alors que les professeurs pourraient tout simplement demander aux élèves de venir avec quelques feuilles.

Et vous , comprenez vous quelque chose?